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Pourl’instant, les Témoins de Jéhovah n’ont pas prévu de reprendre leur activité publique d’évangélisation. Ils continuent donc de contacter leurs voisins par téléphone et par courrier. En novembre 2021, à compter du début de la pandémie, les Témoins de Jéhovah en Guinée avaient consacrés plus de 79,790 heures à donner
2 Ils croient tous les deux à l'au-delà, mais d'une manière différente " : les catholiques qui ont des âmes immortelles, tandis que les Témoins de Jéhovah croient à la résurrection des morts. 3. Les catholiques soutiennent la politique et les services militaires, alors que les Témoins de Jéhovah ne le font pas. 4.
UnTémoin de Jéhovah, détenu au centre pénitentiaire de Saint-Maur, dans l’Indre, a gagné son procès contre l’Etat. Le tribunal administratif de Limoges lui
17Que nous soyons baptisés ou que nous nous efforcions d’atteindre cet objectif, nous avons tout lieu de nous réjouir, car appartenir à la congrégation mondiale des Témoins de Jéhovah ((des Témoins pour et de Yahawah et pour et de Yahshouah)) est un grand honneur. Continue donc à rendre pleinement témoignage tout en t’efforçant de ne pas te laisser contaminer par le
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Sitede rencontre temoin de jehovah gratuit 51. L'autrice de cette tribune raconte son histoire d'amour secrète, son exclusion de sa communauté religieuse, et son parcours pour y retrouver sa place. Ce texte est une collaboration entre la site The Moth et le HuffPost britannique. C'était le jour de mon 33 anniversaire. 17 choses à savoir sur les témoins de Jéhovah. Je ne le fête
Installésen France depuis 1906 (date de la création de la première association de fidèles), les Témoins de Jéhovah accusent Dominique Strauss-Kahn,
Pourleurs rencontres internationales du 30 juillet au 2 août - les premières depuis 2001 - où sont attendus 50 000 Témoins à Paris, 26 000 à
Pourlui, « les Témoins de Jéhovah ne mettent pas toujours le même sens sous un mot utilisé par la majorité de la population. Quand ils affirment laisser leurs adeptes libres, avec grand sourire, il faut comprendre que s’ils ne font pas le bon choix tel qu’indiqué par leur Organisation, les conséquences n’en seront que néfastes, voire désastreuses: réprimandes, rencontre avec
7EuH4. Statut des témoins de Jéhovah en France Les témoins de Jéhovah pratiquent un culte chrétien depuis plus d'un siècle, malgré l'opposition qu'ils ont pu rencontrer dans différents pays. Afin de favoriser leur libertés de culte et de conscience, ils se conforment au mieux à la législation et utilisent le cadre juridique prévu pour les religions. C'est ainsi qu'ils ont obtenu une large reconnaissance, notamment en Europe occidentale. Ils constituent désormais une collectivité de droit public en Allemagne et en Autriche. Au Royaume-Uni et au Canada, ils satisfont aux exigences d'attribution du statut d'organisme de bienfaisance. Ils sont sur le point de signer officiellement une convention avec les États italien et espagnol. Sans parler de leurs cérémonies de mariage qui emportent des effets civils dans plusieurs pays d'Europe, entre autres le Danemark et la Suède. En France, l'article 2 de la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État établit clairement La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ». Il n'existe dès lors ni culte reconnu, ni secte officielle. D'où l'ambiguïté de leur situation juridique, soumise à l'interprétation par les uns et les autres de documents officiels, de décisions administratives ou d'arrêts de juridictions françaises. Tantôt qualifiés de secte officielle », tantôt présentés co= mme association cultuelle », ils rencontrent régulièrement des difficult= és dans leurs activités cultuelles et même dans leur vie privée, en raison d'intolérance à l'égard de leur religion. C'est pourquoi, les témoins de Jéhovah se sont efforcés d'engager les démarches administratives et judiciaires pour défendre leurs droits fondamentaux et faire reconnaître l'honorabilité de leur Église. Ils espèrent ai= nsi pouvoir vivre sereinement leur foi et contribuer à l'évolution des esprits en faveur d'un plus grand pluralisme spirituel. Les rapports et les listes sur les sectes S'ils subissaient de temps à autre des critiques d'associations antisectes ou de certains journalistes, c'est la publication fort médiatisée du rapport d'enquête parlementaire sur les sectes en France, au milieu des années 1990, qui a provoqué une véritable marginalisation des témoins de Jéhovah. Depuis lors, en référence = à la liste de 173 mouvements sectaires élaborée par la commission d'une trentaine de députés, il est régulièrement affirmé qu'ils seraien= t officiellement recensés comme secte » en France. Les conditions de travail peu ouvertes au contradictoire et précipitées leur ont valu nombre de reproches de la part de sociologues et historiens des religions, de juristes, ainsi que de représentants des grandes religions. Deux autres rapports parlementaires sur le même thème ont suivi respectivement en 1999 et en 2006. Pourtant, tant le gouvernement que les juridictions administratives et civiles ont établi que ces documents se révèlent simplement informatifs, sans aucune valeur juridique ni normative. Le ministre de l'Intérieur en particulier a émis cette clarification dans une circulaire adressée aux préfets en décembre 1999 Ces rapports parlementaires ne constituent qu'un élément d'information et de proposition, ils ne prétendent pas avoir valeur normative et ne sauraient fonder ni des distinctions entre les associations qualifiées de "sectaires" et celles qui ne le sont pas au regard desdits rapports ni des sanctions quelconques. » Finalement, l'utilisation de telles listes parlementaires de sectes a été écartée par le gouvernement, comme le confirme le Premier minis= tre en mai 2005 dans une circulaire L'action menée par le Gouvernement est dictée par le souci de concilier la lutte contre les agissements de certains groupes, qui exploitent la sujétion, physique ou psychologique, dans laquelle se trouvent placés leurs membres, avec le respect des libertés publiques et du principe de laïcité. L'expérience a montré qu'une démarche consistant, pour les pouvoi= rs publics, à qualifier de "secte" tel ou tel groupement et à fonder leur action sur cette seule qualification ne permettrait pas d'assurer efficacement cette conciliation et de fonder solidement en droit les initiatives prises. [] Enfin, [] le recours à des listes de groupements sera évité au profit de l'utilisation de faisceaux de critères. » De même, la circulaire du ministère de l'Intérieur du 25 février 20= 08 relative à la lutte contre les dérives sectaires explique qu'il ne s'agit pas dans l'intervention des pouvoirs publics de stigmatiser des courants de pensée », mais de s'attaquer aux faits avérés e= t pénalement répréhensibles », constitutifs d'une atteinte à l'= ordre public, aux biens ou aux personnes ». Et de se référer à la circula= ire précitée du Premier ministre, qui a clairement indiqué la néces= sité d'abandonner dans la recherche des dérives sectaires toute référence = à des listes, pour privilégier une logique de faits ayant l'avantage d'élargir le champ des investigations sans limiter celles-ci à des groupements préalablement identifiés ». De leur côté, les témoins de Jéhovah ne sont pas restés inactifs.= Tout recours légal contre de telles publications de l'Assemblée nationale demeurant impossible, ils ont demandé à pouvoir consulter le dossier fourni les Renseignements généraux à leur sujet à la commission parlementaire de 1995. En effet, c'est lui qui sert principalement aux représentants politiques de la commission à se justifier. Par soucis de transparence, le ministère de l'Intérieur n'a pas répondu favorablement, malgré leur obligation légale au titre du droit d'accè= s aux documents administratifs. Sous la contrainte du juge administratif, les autorités françaises ont communiqué ces élémen= ts qui relevaient prétendument de la sécurité publique Dévoilé lo= rs d'une conférence de presse, ce dossier a été examiné par Le Monde d= até du 20 décembre 2006 Cette "note blanche", qui leur a été communiquée après huit années de procédures, comprend uniquement un= e fiche de présentation et la liste de leurs lieux de culte. » C'est un peu léger pour expliquer toutes les discriminations que subissent depuis cette publication ces croyants pacifiques. Dans ce contexte polémique, les témoins de Jéhovah ont entrepris diverses démarches pour clarifier leur situation légale en France, notamment par rapport au statut cultuel de leurs associations, dans l'intention de se démarquer des mouvements qualifiés de sectaires = ». Le droit des cultes en France Depuis la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églis= es et de l'État, le moyen d'organisation dédié aux religions est le statut d'association cultuelle. L'Église catholique romaine ayant refusé de se soumettre à cette nouvelle réglementation, le législat= eur a autorisé que les activités religieuses soient gérées à l'aide d= 'une simple association à but non lucratif loi du 1er juillet 1901, selon la loi du 2 janvier 1907. Néanmoins, le premier type d'association reste plus avantageux en matière de donations et d'exonération d'impôts. S'il n'existe plus de cultes reconnus depuis plus d'un siècle, ce que les médias oublient trop souvent, l'acceptation du statut d'association cultuelle par l'administration est généralement interprété comme une reconnaissance implicite. Dans une circulaire du 20 décembre 1999, le ministère de l'intérieur rappelle que toute personne peut déclarer une association cultuelle. Néanmoins, le terme cultuel » n'emporte de valeur juridique au sens de la loi de 1905 uniquement s'il obtient des autorités compétentes le droit de recevoir des libéralités et autres avantages fiscaux. À cette fin, l'organisme doit remplir trois conditions l'existence d'un culte, le caractère exclusivement cultuel de son objet et la non-contrariété à l'ordre public de son but statutaire ainsi que de ses activités effectives. La jurisprudence administrative S'il y a un mouvement qui a nourri la jurisprudence, qui a permis d'éclaircir les conditions de reconnaissance de cette qualité cultuelle, c'est bien celui des témoins de Jéhovah. Il est vrai que leurs premières démarches n'ont pas rencontré le succès attendu. En effet, un arrêt d'Assemblée du Conseil d'État a retenu que certaines activités non explicitées ne permettaient pas à l'association nationale représentant ce culte de recevoir un legs. Tandis que d'éminents juristes se sont insurgés contre cette attitude du juge suprême, les témoins de Jéhovah ne se sont pas laissés décourager= . Bien leur a valu. À nouveau sollicité, le Conseil d'État a cette fois-ci déchargé d= e la taxe d'habitation les édifices de culte appartenant à deux associations locales de cette même confession. Dans l'arrêt du 13 janvier 1993, la section du contentieux a soutenu la Cour d'appel, qui a estimé souverainement que les activités déployées étaient constitutives de l'exercice public d'un culte » et que les locaux étaient exclusivement affectés à cet exercice ». L'ensemble des Églises locales des témoins de Jéhovah ont par conséquent revendiqué l'exonération de la taxe foncière sur leurs lieux de culte, ce qui nécessite que le propriétaire forme une association cultuelle conforme à la loi de 1905. L'ensemble des tribunaux et cours administratifs ont donc été amenés à se prononce= r sur la qualité cultuelle de leurs activités religieuses. Selon L'Express du 27 janvier 2000, 23 tribunaux sur 26 et les quatre cours d'appel qui s'étaient déjà prononcés ont conclu en faveur des requérants. Dans le doute, l'un des juges a utilisé son droit d'interroger le Conseil d'État sur une question de droit nouvelle. Faute de pouvoir répondre sur le cas particulier qui lui était soumis, il a répondu dans son avis d'Assemblée du 24 octobre 1997 sur les conditions générales à satisfaire pour constituer une association cultuelle - elles doivent avoir exclusivement pour objet l'exercice d'un culte, c'est-à-dire, au sens de ces dispositions, la célébration de cérémonies organisées en vue de l'accomplissement, par des personnes réunies par une même croyance religieuse, de certains rites ou de certaines pratiques » ; - elles ne peuvent mener que des activités en relation avec cet objet telles que l'acquisition, la location, la construction, l'aménagement et l'entretien des édifices servant au culte ainsi que l'entretien et la formation des ministres et autres personnes concourant à l'exercice du culte » ; - elles ne peuvent poursuivre des activités qui pourraient porter atteinte à l'ordre public. Évidemment, les deux parties opposées étaient déterminées à all= er jusque devant la Cour suprême pour régler leur différend. Au regret d= u ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, le Conseil d'État a rendu le 23 juin 2000 une confirmation de la jurisprudence admettant majoritairement les prétentions juridiques des témoins de Jéhovah. Outre l'évidence non remise en question du caractère cultuel des activités des associations, les juges du Palais Royal ont justifié leur décision par le fait qu'il ne résultait de l'instruction, ni que ladite association ait fait l'objet de poursuites ou d'une dissolution de la part des autorités administratives et judiciaires, ni qu'elle ait incité ses membres à commettre des délits, en particulier celui de non assistance à personne en danger » et que la cour d'appel avait pu juger, à juste titre, que l'activité de l'association considérée ne menaçait pas l'ordre public. Ces deux arrêts de principe de la section du contentieux, associés à l'avis d'Assemblée de 1997, établissent désormais une nouvelle jurisprudence, qui rend caduque la solution discutable de 1985 et qui permet de considérer les associations locales et régionales pour le culte des témoins de Jéhovah comme cultuelles » au sens de la loi= du 9 décembre 1905. La pratique administrative Finalement, l'administration fiscale a dû accorder aux assemblées locales des témoins de Jéhovah l'exonération de la taxe foncière su= r leurs salles de réunions. En l'absence d'élément concret justifiant u= n quelconque trouble à l'ordre public, le ministère de l'Intérieur a fait de même en accordant systématiquement le bénéfice des dispositions prévues pour les associations cultuelles aux associations des Témoins de Jéhovah», comme l'a confirmé le chef du Bureau centr= al des cultes devant la commission d'enquête parlementaire sur les sectes et les mineurs en 2006. Aussi, dans son édition nationale du 4 février 2008, Le Parisien a-t-il signalé qu'un millier de communautés de témoins de Jéhovah, tout comme leur représentation nationale en particulier l'Association cultuelle les Témoins de Jéhovah de France depuis 2002, disposent du droit d'accepter des dons et legs, ainsi que de délivrer des reçus fiscaux ouvrant droit à déduction sur l'impôt sur le revenu. Et de conclure qu'avec 200 000 fidèles, ils deviennent ainsi la cinquième religion » de France. Dans la continuité, les ministres du culte permanents de l'Association cultuelle les Témoins de Jéhovah de France et les membres de la Communauté chrétienne des Béthélites ont finalement été affili= és à la Caisse d'assurance vieillesse, invalidité et maladie des cultes CAVIMAC par décision de son conseil d'administration du 27 janvier 2003. Ils profitent désormais de ce régime spécial de protection sociale, au même titre que huit autres religions traditionnelles, grâce à un avis positif de la Commission consultative des cultes réunie le 26 octobre 2001. Une position officiellement soutenue Évidemment, les militants antisectes s'obstinent à affirmer que les témoins de Jéhovah ne peuvent constituer des associations cultuelles reconnues, en contradiction avec la jurisprudence, les décisions administratives et tous les commentaires de revues juridiques. Selon eux, le trouble à l'ordre public aurait été ignoré, alors que les autorités compétentes n'écartent pas ce contrôle et au contraire se justifient sans problème d'un point de vue juridique. Le gouvernement de son côté maintient sans hésitation sa position. Dans l'article précité du quotidien Le Parisien, Michèle Alliot-Marie a répondu à la question du statut des Témoins de Jéhovah en France = C'est une association légale. Elle a pu poser, à un moment donné, des difficultés, notamment au regard de la liberté de soins. Le Conseil d'État a tranché au regard de la loi, c'est une association cultuelle. Mon rôle, c'est de faire appliquer la loi. » Quant à l'Élysée, il est reproché à la Miviludes, entre autres, d'avoir mené une étude comparative sur le statut des Témoins de Jéhovah à l'étranger, alors que la question de leur statut en France avait été réglée depuis leur reconnaissance comme association cultuelle par le Conseil d'État. Une ligne rouge a été franchie = », cite le journal La Croix, publié le 5 février 2008. En somme, cette évolution juridique favorable aux témoins de Jéhovah constitue une avancée remarquable qui contribue à l'intégration de cette minorité religieuse dans le paysage cultuel de France. Elle reflète probablement le résultat d'une plus grande connaissance et d'une meilleure compréhension de leur Église. Déjà en 1997, Le Mond= e notait dans l'analyse d'une décision d'un tribunal administratif Le jugement confirme une évolution vers la "normalisation" des Témoins de Jéhovah ». Dimanche 31 Janvier 2010 Davy FORGET
Accueil Beauvais et environs L’association cultuelle a proposé des portes ouvertes samedi 22 février dans sa nouvelle salle du royaume de Beauvais. Une initiative plutôt rare. Et critiquée par Nicolas Jacquette, qui a passé les 22 premières années de sa vie chez les témoins de Jéhovah. Article réservé aux abonnés
AccueilNews Société Religion l’Assemblée régionale des Témoins de Jéhovah se déroule en mode virtuel dans 240 pays Société Publié le dimanche 15 août 2021 © Par DR l’Assemblée régionale des Témoins de Jéhovah se déroule en mode virtuel dans 240 pays Puissants grâce à la foi ». Tel est le thème de l’assemblée régionale qu’organisent les Témoins de Jéhovah en mode virtuel dans plus de 240 pays et en plus de 500 langues, en raison de la pandémie de la Covid 19. Cette assemblée régionale se tient en six sessions par visioconférence tous les week-ends du 3 juillet au 22 août prochain sur le site ou sur Jw broadcasting. Pendant 51 années consécutives, des assemblées régionales se sont tenues les mois de juillet et août à Abidjan. Des stades et des infrastructures de grande capacité ont été utilisés à cet 2020, la pandémie a interrompu de manière inattendue cette tradition ; obligeant l’organisation religieuse internationale à annuler les rassemblements en présentiel dans le monde entier et à initier l’évènement en mode virtuel. C’est une première pour les Témoins de Jéhovah qui tiennent des assemblées publiques dans des stades, arènes, salles de congrès et théâtres du monde entier ; depuis 1897», précise un communiqué du Bureau des relations publiques des Témoins de Jéhovah de Côte d’Ivoire. Bien que le programme soit virtuel, selon Bazié Jules, porte-parole national, les Témoins de Jéhovah envoient depuis plusieurs semaines des invitations électroniques aux personnes qui ont accepté d’être contactées. Par voie de presse également, nous faisons connaître ce programme à toute la population, parce que nous sommes convaincus qu’au-delà des Témoins de Jéhovah et de leurs sympathisants, chaque être humain en a besoin. En effet, les Témoins de Jéhovah sont issus de toutes les couches sociales et les situations qu’ils vivent sont les mêmes que rencontrent leurs voisins. Ce qui apporte du courage, de la joie et de l’espoir aux Témoins de Jéhovah peut avoir le même effet sur leurs voisins, connaissances, amis, camarades d’écoles et collègues de travail. Ainsi, par amour et par intérêt sincère pour les autres, les Témoins de Jéhovah aimeraient partager avec tout le monde le bonheur qu’ils retirent à suivre ce programme. Tout le monde est donc invité, peu importe qu’il appartienne à une religion ou pas », a souligné Bazié Jules. Puis de déplorer, tout en soulignant l’opportunité de la tenue de cette assemblée régionale 2021 autour du thème, “Puissants grâce à la foi” La pandémie de Covid-19 a complètement bouleversé notre quotidien, nos relations avec les autres, nos habitudes de travail. Tout cela vient compliquer les problèmes habituels liés à la maladie, aux décès de nos proches, aux difficultés économiques, etc. Naturellement, cette situation génère de l’angoisse, du stress, du désespoir. Mais la vraie foi donne la force nécessaire pour surmonter n’importe quelle difficulté. Elle procure aussi de la joie et suscite de l’espoir » Ayez de la foi dans la bonne nouvelle ; imitez les femmes qui ont une foi forte comme Sara, Rahab ; Anne ; la femme phénicienne ; des chrétiennes de notre époque ». Ce sont autant de sous-thèmes qui seront traités au cours de cette assemblée régionale des Témoins de Jéhovah. Sercom Réagir à cet article
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